Les chroniques inachevées de la guerre Pinguo-Manchine article troisième
Et voici (en toute logique) la suite du second épisode. Il s'agit de:
La seconde phase des actes terroristes manchaliens
En réponse aux nombreux attentats dont l'Antarctique était le théâtre depuis un certain temps, le gouvernement Pingouin, appuyé par l'opinion publique, avait décidé de décréter la loi martiale sur le continent blanc. Nombre de chefs de cellules révolutionnaires furent ainsi arrêté. La police politique pinguine était effectivement très efficace en cette époque troublée.
De plus, l'Arctique étant également peuplé d'une importante communauté pinguine, la majorité des attentas étaient prévenus par l'intervention coordonnée de la police et des équipes de déminage.
Les efforts des grands chefs révolutionnaires Manchots (ils étaient quasiment tous passés à travers les vagues d'arrestations pinguines) pour changer la stratégie de planification des attentas s'étant révélés infructueux, ceux-ci décidèrent alors de stopper les attentas.
En une semaine, le nombre d'explosions et d'assassinats passa de 47 (moyenne sur 2 ans tout en comptant les tentatives ratés, donnés de l'institut pingouin de l'établissement des statistiques diverses (l'IPESD)) à 0.
Les Pingouins étaient ravis de l'arrêt de cette vague de violence qui durait maintenant depuis plus de 3 ans. Après 28 mois de loi martiale, l'Antarctique retrouvait enfin le calme qui faisait son charme.
Malheureusement, ce n'était que la nouvelle stratégie des chefs révolutionnaires Manchots maintenant regroupés dans une seule organisation pour une meilleure cohésion. Devant les pertes inutiles, ils avaient décidés de se faire oublier et même, de se laisser commander par l'ennemi. Seulement, ce ne serait que pour un temps. La guerre allait reprendre. Plus violente encore, plus de 30 ans après. Mais comment les Pingouins pouvaient-ils le deviner ?